Embauches chez Therrien Couture
Theodora Navarro
2016-07-25 14:30:00
Barreau 2004, Me Vicky Lemelin est une avocate spécialisée en droit du travail. C’est dans ce domaine qu’elle rejoint l’équipe de Therrien Couture. Me Lemelin a pratiqué durant presque neuf ans au sein du cabinet Lavery, de Billy, avant de devenir conseillère en relations du travail pour Métro Richelieu inc.
Durant quelques mois, elle a ensuite travaillé à titre d’avocate spécialisée en sein du travail pour le CISSS de Montérégie-Ouest, puis a rejoint l’équipe de Therrien Couture de Brossard. Elle est diplômée de l’Université de Montréal.
Également spécialisé en droit du travail, Me Charles Caza a oeuvré pendant 20 ans au sein du cabinet Dunton Rainville, qu’il a quitté pour rejoindre, à titre d’associé principal, le cabinet Caza Marceau Soucy Boudreau, puis Municonseils Avocats. Il y a trois ans, il expliquait ainsi à Droit-inc les raisons de son départ.
Très réputé en droit du travail, Me Caza est un atout de taille pour l’équipe de Therrien Couture. Il est également conférencier et auteur. Intéressé par la santé mentale, Me Caza s’implique dans différents organismes. Il a siégé notamment sur le CA de la Fondation de l’Institut Philippe-Pinel, la Société d’Alzheimer de la Rive-Sud et la Fondation de l’Hôpital Charles-Lemoyne . Me Caza est diplômé de l’UQÀM.
Par ailleurs, trois juristes terminent prochainement leur stage et seront bientôt assermentés : Amélie Millette-Gagnon, de la faculté de droit de Sherbrooke, sera assermentée le 12 août, Marc Chidiac, également de Sherbrooke, le 29 août et Jeanne Paquette, diplômée d’un baccalauréat en droit de l’UQÀM et d’un juris doctor en Commow Law Nord-Américaine de l’UdeM, le 24 août.
Anonyme
il y a 8 ansJ'ai eu à débattre en arbitrage contre Me Caza et je puis vous dire que c'est un excellent juriste!!
anonyme
il y a 8 ans3 bureaux en 3 ans! Me Caza explore!
Anonyme
il y a 8 ansQuel commentaire sans pertinence ! Même s'il avait fait 5 cabinets en trois ans... et puis ?
GBS
il y a 8 ansCe qui est plus intéressant, c'est pourquoi il change de cabinet aussi souvent.
Anonyme
il y a 8 ansParent et Municipalité de Cantley, 2013 QCCRT 559 (CanLII)
Hébergement d’urgence violence conjugale, Vaudreuil-Soulanges c Vallée, 2005 QCCRT 243 (CanLII).
Anonyme
il y a 8 ansTant qu'à commenter, allez-y à fonds!
Un "admirateur" de Me Caza
il y a 8 ansJe vous invite à lire les paragraphes 136 à 147 de la décision en révision judiciaire dans l'affaire Cantley (2015 QCCQ 2424) qui donne une bonne idée de la profondeur des arguments et de la technique de Me Caza.
Pour vous donner une idée :
[136] Vu qu'aucun des reproches mentionnés plus haut n'a trouvé grâce aux yeux du Tribunal, il doit être évident que les regrouper ne leur donne pas plus de tonus.
[137] Une analogie mathématique permettrait de dire: 7 X 0 = 0
[138] Si les motifs de reproches, pris séparément, sont sans mérite, ils n'en ont pas plus dans leur ensemble.
me
il y a 8 ansBon ..les commentaires de la Cour sont durs mais je crois que lorsqu'on fait du litige on a tous eu un dossier moins glorieux et qui donne un moins bon résultat.... on ne connaît rien de ce que l'avocat a pu dire et recommander à son client etc etc et je trouve cela un peu facile de critiquer un avocat à partir de cela.
pour ma part j'ai entendu des commentaires positifs à son sujet
Anonyme
il y a 8 ansDéjà, l'analogie mathématique ne marche pas à tous les coups. En droit du travail on reconnait le harcèlement par des faits mineurs cumulatifs. Donc si, parfois 7x0 n'égale pas 0.
Aussi, nous avons peut-être un avocat qui était prêt à porter l'affaire en cour d'appel mais dont le client ne lui a pas donné mandat.
À titre de commentaire additionnel, je suis vraiment dubitatif quant à la pratique maintenant généralisée de détourner le principe de détourner le principe de publication des jugements à des fins de commentaires sans véritable dessein dans un dossier ou encore pour salir la réputation d'un avocat ou d'un client. Il me semble que les parties ont droit à un minimum de respect et d'égards dans leurs différends lorsqu'elles passent au travers du processus déjà difficile d'un litige. Mon commentaire s'applique de manière générale et non pas au dossier dont il est fait mention dans les commentaires ci-dessus.
Anonyme
il y a 8 ansDe plus, on ne peut jamais savoir si ce qui est rapporté dans le jugement, au chapitre des faits, reflète ce qui s'est dit devant le tribunal. Il arrive fréquemment qu'il y ait des écarts et des omissions appréciables. Dans ce cas, il peut même arriver que l'instance devant laquelle on se pourvoit contre le premier jugement, transcription en mains, refuse de constater les écarts et omissions dénoncées.
Finalement, le "fin du fin" (pour les connaisseurs!), c'est quand le tribunal de premier instance a le contrôle sur l'enregistrement de l'audience et qu'il décide de ne pas enregistrer (ou d'effacer) les passages qui permettrait d'attaquer son jugement, ou encore lorsqu'il fait obstacle à l'obtention de l'enregistrement.
Lawyer
il y a 8 ansWhat are you all on about? Lawyer out.