Adjudant André Gagnon: l’armée interjette appel

Agence Qmi
2014-09-19 07:00:00

«Il a témoigné de façon claire et précise en admettant les erreurs qu'il a commises.
Ce qui n'a pas été le cas de Mme Raymond», avait déclaré à l’époque l'avocat de l'adjudant, heureux d'avoir remporté son pari.
Dans ce dossier, il y avait deux défenses possibles, soit que Stéphanie Raymond était consentante ou bien que l'adjudant croyait sincèrement qu'elle l'était.
«Notre position a toujours été qu'elle était consentante des échanges sexuels qui ont eu lieu», avait ajouté l’avocat de l’adjudant Gagnon.
Le comité qui avait délibéré pendant deux jours avant de rendre sa décision, n’avait pas à l’expliquer ce qui fait qu’il est pour le moment impossible de connaître les éléments qui ont mené à l'acquittement de l'adjudant.
La poursuite avait 30 jours afin d'en appeler de cette décision.