Jusqu'en Cour suprême pour la vente de sirop
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Julien Vailles
2016-08-29 13:15:00

L'exportation est un domaine de compétence fédérale, soutient-elle, et seule une autorisation du gouvernement fédéral devrait être nécessaire pour exporter légalement - autorisation qu'elle a d'ailleurs obtenue.
Cet argument n'a pas convaincu les juges Nicole Duval Hesler, Benoît Morin et Lorne Giroux de la Cour d'appel du Québec, qui, en juillet dernier, ont donné raison à la Fédération des producteurs acéricoles du Québec, intimée dans l'affaire. Déterminée, Mme Grenier compte en appeler à présent au plus haut tribunal du pays, rapporte le Journal de Montréal.
La réglementation avait d'abord été contestée devant la Régie des marchés agricoles et alimentaires du Québec. Un contrôle judiciaire de cette décision a été demandé devant la Cour supérieure, qui a refusé d'y faire droit. C'est un appel de cette dernière décision qu'a rejeté la Cour d'appel.
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Mme Grenier se voit également réclamer entre 300 000 et 400 000 $ de la Fédération des producteurs acéricoles pour des ventes qu'elle a faites sans intermédiaire à un acheteur néo-brunswickois.
Me Hans Mercier, du cabinet Mercier Morin, représente pro bono la demanderesse. La Fédération des producteurs agricoles, mise en cause dans l'affaire, est représentée par Me Mathieu Turcotte de Dufresne Hébert Comeau. Mes Patricia Blair, de Lavoie Rousseau, et Martine Veilleux, de Dupuis Veilleux, agissent respectivement pour les mises en cause Procureure générale du Québec et la Régie des marchés agricoles et alimentaires du Québec.
Cliquez ici pour consulter la décision de la Cour d’appel.
Anonyme
il y a 8 ansL'état, comme intermédiaire unique et obligatoire dans la chaine de revente, c'est l'URSS des années de famine et de misère.