Le meurtre le plus mystérieux de France enfin résolu?
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Delphine Jung
2017-06-16 13:15:00

Jacqueline Jacob a été mise en examen pour enlèvement et séquestration suivie de mort, selon une source citée par le quotidien français. Son mari Marcel a subi le même sort. La femme de 72 ans est la tante du père de l'enfant, Jean-Marie Villemin. Ce dernier a quitté le tribunal sous haute protection policière vendredi, après la comparution du couple Jacob.
Ginette Villemin - la veuve de Michel Villemin, le frère de Jean-Marie- avait été arrêtée à 30 kilomètres de là, à Arches. Elle a été relâchée jeudi soir.
Le meurtre de Grégory semblait devoir demeurer impuni. Mais 32 ans plus tard, le procureur Jean-Jacques Bosc a dit jeudi que de nouveaux indices ont généré des « résultats intéressants ». Ainsi, une expertise graphologique d'une menace de mort reçue par la famille de Grégory un an avant son meurtre a mené la police jusqu'à la grand-tante qui a été arrêtée.
L'enquête tend maintenant à démontrer que « plusieurs personnes ont concouru à la réalisation du crime », a dit M. Bosc, « et je pense que nous nous rapprochons de la vérité ».
L'enquête est un tissu de querelles familiales, d'erreurs judiciaires et de milliers de preuves - dont quelque 2000 lettres anonymes. Un membre de la famille, incarcéré pour le meurtre de Grégory puis relâché, a ensuite été tué par le père de l'enfant. La mère de Grégory a à son tour été accusée de son meurtre, avant d'être complète exonérée.
Condamné pour un « like » Facebook
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La justice clémente avec les dealers
La Cour suprême américaine a décidé de limiter les saisies judiciaires chez des personnes condamnées dans des affaires de stupéfiants, mais n'ayant que peu profité du commerce illégal. Cette décision fait écho à l’histoire de Tony et Terry Honeycutt, qui vendaient du matériel de camping dans leur quincaillerie de Chattanooga, dans le sud du Tennessee. Les deux hommes avaient constaté un intérêt marqué pour un désinfectant qui peut servir à fabriquer de la méthamphétamine. Le produit était peu à peu devenu la première source de revenu du magasin. Les deux frères avaient été inculpés pour association de malfaiteurs pour vendre de l'iode en connaissance de son usage illégal. Tony possédait une grande partie de la quincaillerie, tandis que Terry n’était que simple employé. Il avait alors saisi la justice en affirmant qu’il n’était pas intéressé aux ventes. La Cour suprême lui a donné raison dans une décision prise à l'unanimité.
Fab
il y a 7 ans"Le quadragénaire est ainsi le premier à avoir été condamné pour avoir montrer son accord avec des commentaires écrits par d’autres. "
Peut-être le premier à payer mais pas le premier à se faire prendre avec un "like"...
https://twitter.com/btabaka/status/194873599365095425/photo/1
"ArbG Dessau-Roßlau, Judgment of the 21.03.2012 - 1 Ca 148/11
It can be regarded as a breach of loyalty if an employee agrees to a posting to Facebook which devalues his employer by operating the "like" button (paragraph 34).
However, a first breach of duty of this kind is not justified to justify the termination of an existing employment relationship without notice. On the contrary, the employee is justified in the event of a prosecution of the 'like' button by the employee (paragraph 35)."
https://www.ra-skwar.de/urteile/ArbG%20Dessau%201%20Ca%20148-11.php