Fusion dans le monde juridique

Rene Lewandowski
2007-10-24 16:14:00
Dès le 12 novembre 2007, ils déménageront dans les locaux de Joli-Cœur, Lacasse, Geoffrion, Jetté, St-Pierre, sur McGill College. Chacun ira ainsi rejoindre ses nouveaux collègues dans son secteur de droit respectif.
« Nous sommes honorés d’avoir été choisis par Lozeau L’Africain qui a reconnu notre culture d’entreprise exceptionnelle. Par cette fusion, non seulement nous élargissons notre offre de services, mais nous la bonifions, la compétence étant au cœur des valeurs de chacune de nos organisations. Comme nous avons déjà érigé en système le travail d’équipe, nos clientèles respectives, maintenant notre clientèle, devraient rapidement ressentir cette valeur ajoutée », déclare Paul Routhier, président de la société Joli-Cœur, Lacasse, Geoffrion, Jetté, St-Pierre,
Lozeau L’Africain se spécialise en Garantie et insolvabilité, litige commercial, droit des affaires et droit bancaire. Il compte quelques avocats connus dans le monde juridique, notamment l’associé Jean Lozeau, spécialiste en insolvabilité, qui a représenté Ronald Weinberg dans le dossier Cinar.
Dans la Presse du 4 octobre 2007, il déclarait à mon collègue Francis Vailles que
« Sur le budget de 250 000$, qu'il faudra 150 000$ seulement pour les experts. Il resterait donc 100 000$ pour les quatre avocats de sa firme Lozeau L'Africain affectés au dossier. »
Sur quatre mois de procès, ce serait l'équivalent de 15$ l'heure, environ.
«Avec un tel montant, je perds de l'argent à chaque jour. Mes frais d'administration me coûtent davantage (loyer, etc.)», disait-il
Jean Lozeau disait aussi ne pas vouloir retarder le processus. «Je suis prêt à procéder, mais il faut de l'argent», disait-il.
Selon Daniel L’Africain, le cas Weinberg n’a cependant rien à voir avec la décision de fusionner avec Joli-Cœur, Lacasse, Geoffrion, Jetté, St-Pierre, au contraire.
« Ce regroupement va nous permettre de diversifier notre offre de service et de mieux développer notre clientèle », dit-il.
Anonyme
il y a 17 ansavec égards, je trouve que cet article est du plus mauvais style; il y a un mélange des sujets qui est sans objet. La citation au sujet de plafonnement des honoraires accordées par la Cour supérieure n'a aucun rapport avec la nouvelle de la fusion de ces deux cabinets. Peut-être y a-t-il un second degré que je ne décrypte pas.
Denis Sauvé.
Anonyme
il y a 17 ansJe suis tout à fait d'accord, n'eut été du fait que j'ai intentionnellement omis de comprendre la véritable intention de l'auteur en mettant la citation au sujet des honoraires, ce texte est des plus incompréhensibles... dommage