Reportages
La guerre des titans
Rene Lewandowski
2007-09-21 12:36:00
Si vous avez un peu de temps en fin de semaine, je vous suggère de vous procurer l’édition d’octobre du magazine Vanity Fair, présentement en kiosque.
D’abord pour Nicole Kidman, en couverture de la revue!
Mais surtout pour le fascinant récit d’une des rivalités les plus féroces du monde des affaires; celle qui oppose le fondateur de la firme de capital privé newyorkaise KKR, Henri Kravis, à Stephen Schwarzman, le grand patron de Blackstone.
D’abord pour Nicole Kidman, en couverture de la revue!
Mais surtout pour le fascinant récit d’une des rivalités les plus féroces du monde des affaires; celle qui oppose le fondateur de la firme de capital privé newyorkaise KKR, Henri Kravis, à Stephen Schwarzman, le grand patron de Blackstone.
Depuis des mois, ces deux cracks du méga deal se livrent une lutte de tous les instants pour se positionner comme le numéro un du secteur.
31,4 milliards, 39 milliards, 45 milliards… la surenchère entre les deux rivaux atteint des sommets stratosphériques. Et le gagnant du jeu est celui qui misera le plus fort.
Quel rapport avec les avocats me direz-vous? Petite remarque : avoir un des deux comme client est l’équivalent de gagner 100 fois à la 6/49.
Dans le reportage, Henri Kravis y est décrit comme le gentil et le réservé, accordant peu d’entrevues.
Schwarzman, lui, est tout le contraire, selon le journaliste; arrogant, vaniteux, grande gueule, avec son portrait en format géant partout dans sa maison.
On y apprend aussi plein de choses sur leur vie privée; leurs épouses (il y en a plusieurs!), leur train de vie, leurs appartements à New York, etc.
Le journaliste conclut en affirmant que pour le moment Stephen Schwarzman a clairement remporté la bataille, particulièrement depuis l’IPO du Groupe Blackstone, au printemps dernier …Mais il n’a pas encore gagné la guerre.
31,4 milliards, 39 milliards, 45 milliards… la surenchère entre les deux rivaux atteint des sommets stratosphériques. Et le gagnant du jeu est celui qui misera le plus fort.
Quel rapport avec les avocats me direz-vous? Petite remarque : avoir un des deux comme client est l’équivalent de gagner 100 fois à la 6/49.
Dans le reportage, Henri Kravis y est décrit comme le gentil et le réservé, accordant peu d’entrevues.
Schwarzman, lui, est tout le contraire, selon le journaliste; arrogant, vaniteux, grande gueule, avec son portrait en format géant partout dans sa maison.
On y apprend aussi plein de choses sur leur vie privée; leurs épouses (il y en a plusieurs!), leur train de vie, leurs appartements à New York, etc.
Le journaliste conclut en affirmant que pour le moment Stephen Schwarzman a clairement remporté la bataille, particulièrement depuis l’IPO du Groupe Blackstone, au printemps dernier …Mais il n’a pas encore gagné la guerre.
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