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Recrutement : Les grands cabinets boudent l’UQAM

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Rene Lewandowski

2008-03-11 14:47:00

À tort ou à raison, les grands cabinets du Québec préfèrent recruter leurs avocats dans certaines universités plutôt que d’autres.
C’est ce que révèle une mini enquête de Droit-inc.com, qui a compilé des données tirées des sites Internet des 15 plus importants cabinets du Québec.

Ainsi, sur 2043 avocats répertoriés, 694 avaient obtenu leur diplôme en droit à l’Université de Montréal, soit près de 34% d’entre eux.

Suivent dans l’ordre, McGill à 23,15% (473), l’Université Laval à 21,83% (446), l’Université d’Ottawa à 8,27% (169) et l’Université de Sherbrooke à 8,22% (168).

Très loin derrière, on retrouve l’UQAM : Moins de 30 avocats ayant obtenu leur diplôme en droit dans cette université étaient à l’emploi d’un des 15 plus grands cabinets du Québec.

C’est moins de 1,25%!

Heenan Blaikie et Lavery, de Billy ont tous les deux cinq avocats ayant obtenu leur diplôme à l’UQAM. Ils sont suivis par BLG et FMC (4). McCarthy Tétrault en compte trois; Stikeman Elliott, deux.

Face à ces résultats, une grande question demeure sans réponse : est-ce les grands cabinets en droit des affaires qui boudent les étudiants de l’UQAM, ou serait-ce plutôt les « Uqamiens » qui optent pour des choix de carrière radicalement opposés à ceux de leurs collègues des autres universités?

Avis aux lecteurs: Nous avons colligé ces données sur les sites Web des cabinets; dans quelques cas, rares, les fiches des avocats étaient incomplètes et il y manquait le nom de la faculté de droit d'où ils avaient obtenu leur diplôme. Il est donc possible que subsistent certaines variations; mais leur nombre est négligeable et ne change pas le portrait d'ensemble de notre enquête.
RL
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18 commentaires
  1. Anonyme
    Anonyme
    il y a 16 ans
    Précisions
    Quelques précisions s'imposent :

    1) Un Centre de développement professionnel et de placement en droit a été créé au début de l'année académique 2005-2006 à l'initiative de l’Association des étudiants en droit (AEDUQÀM), avec l’appui de la Faculté de science politique et de droit de l’UQÀM. Il vise à répondre à un besoin exprimé depuis de nombreuses années par des générations d’étudiants, soit celui d’avoir à leur disposition une ressource professionnelle pour faire le pont entre l’Université et le milieu juridique et qui serait axé exclusivement sur les carrières en droit.

    2) Ce ne sont pas seulement les étudiant(e)s en droit de l'UQAM qui optent pour des carrières alternatives dans le domaine juridique ou autres (affaires, politique, relations internationales, etc). Donc cessons de généraliser.

    3) Moins ''businessman'' à l'UQAM ? Pourtant Me Paul Martel a enseigné le droit des compagnies pendant des années à l'UQAM. J’ai eu la chance de l’avoir avant sa retraite. De plus plusieurs autres cours en droit des affaires s’offre lors du baccalauréat : Droit des affaires, Droit fiscal, Droit des contrats commerciaux et du financement de l’entreprise, Priorités - hypothèques et publicité des droits, Droit de la faillite et de l’insolvabilité et Droit du commerce international.

    4) Les débats sur nos performances lors des concours de plaidoiries et des examens de l'École du Barreau ont eu lieu. Il n'y a rien d'autre à rajouter.

    5) Nous ne sommes pas gauchistes, grévistes ou ''moins bons'' comme laissait entendre le fameux sondage de la mi-février. Nous sommes affiliés (de force depuis 2001) à la faculté de science politique. Ils sont reconnus comme étant plus revendicateurs et de gauche. Ils sont majoritaires, donc lors des assemblées de grève, nous ne faisons pas le poids. Consulter cet [http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2007/10/20071017-091602.html|article] :

    6) La mini enquête de Droit-Inc omet plusieurs cabinets importants qui ont des avocat(e)s formé(e)s à l'UQAM à leur emploi. (ie: Dunton Rainville)

    7) Ce sondage va probablement susciter encore 45000 ou même 50000 votes. Les gens qui ne nous aiment pas vont voter le #3 parce que c’est la seule réponse négative possible à notre égard.

    Finalement, je veux tout simplement dire que c’est déplorable que tout ce débat sur les étudiant(e)s en droit de l’UQAM ait lieu pendant la course aux stages. On me parle de travail journalistique de base (Mr l’éditeur comprendra) sans aucune apparence de partialité. Ah bon !

  2. Anonyme
    Anonyme
    il y a 16 ans
    Parce qu'on est moins...
    1. les étudiants de l'UQAM sont moins nombreux que les autres étudiants en droit des autres universités.

    2. La faculté de sc. politique et de droit existe depuis peu contrairemnt aux collègues de UdeM, Mcgill et des autres facultés.

    3. l'UQAM n'avait pas de centre de placement, elle souffre de préjugés vieux de 1965

    4. il y encore du monde qui s'amuse à biaiser le sondage.

    5. J'ai deux amis chez Stikeman elliot de l'UQAM et deux autres chez McCarthy Tetrault de l'UQAM.

    6. l'UQAM s'améliore au fil des années.

  3. Anonyme
    Anonyme
    il y a 16 ans
    Good for you!
    You found a well, Mr. Lewandowski, and you will keep going to it. C'mon UQAM nation - voice your outrage, stamp your feet and whatever you do, make sure that you keep clicking onto this site to find out how others have expressed their ire! we can't let this steaming piece of sensational journalism (with trumped up statistics to boot!) go unrewarded.

  4. Anonyme
    Anonyme
    il y a 16 ans
    d'accord!
    Ce n'est pas juste le manque de partialité de la part de Droit.inc. il est aussi évident la manque d'originalité dans ces sondages. Je pense que la question sur la qualité de la fac. de droit de l'UQAM été déjà réglé ! "Un mini-sondage"? voyons! soyez sérieux ! les avocats ont besoin d'un peut plus que des mini-sondages pour être convaincues d'un argument!

  5. Anonyme
    Anonyme
    il y a 16 ans
    Précisions
    Bravo! Précisions très bien énoncées. Je suis de l'UQAM et j'ai déniché un excellent emploi au sein d'un contentieux d'entreprise et je me spécialise en droit des affaires, valeurs mobilières, etc. Il existe des employeurs et des cabinets qui n'ont pas peur d'embaucher des étudiants de l'UQAM.

  6. Anonyme
    Anonyme
    il y a 16 ans
    ...

    une grande question demeure sans réponse : est-ce les grands cabinets en droit des affaires qui boudent les étudiants de l’UQAM, ou serait-ce plutôt les « Uqamiens » qui optent pour des choix de carrière radicalement opposés à ceux de leurs collègues des autres universités?

    Demandez-leur M. Lewandowski. Quand vous aurez la réponse, publiez là ! Je vous invite également à sonder les avocats de l'UQAM. Cela pourra faire l'objet d'un reportage sur l'UQAM. Basher l'UQAM pourrait devenir la nouvelle section des « sports » de votre site...

  7. Anonyme
    Anonyme
    il y a 16 ans
    une partie de la vérité
    En fait, il faudrait vérifier d'ou proviennent les avocats faisant le recrutement au sein de ces soi disant grands cabinets (la seule chose de vraiment grande chez eux c'est la facture qu'ils refilent à leur client). Je suis persuadé, pour l'avoir vécu par ailleurs, que ceux qui procèdent au recrutement recrutent des stagiaires et jeunes avocats qui proviennent de l'université ou ils ont eux memes fait leurs études. Ainsi donc, il n'y a aucune surprise quant au fait que l'UDM et McGill soient en tête de file, suivront naturellement les universités étant situés plus loin de Montreal mais dont la faculté de droit existe depuis de nombreuses années (Laval, Sherbrooke et Ottawa) et finalement l'UQAM. Ce qui serait intéressant seraient de savoir ce qui en est des cabinets de ces "grands" bureaux qui se situent en région! Est ce que ces derniers recrutent des étudiants de l'UDM ou bien des étudiants diplomés de l'Université de leur région ??? A voir !

    Un avocat

  8. Anonyme
    Anonyme
    il y a 16 ans
    étude de droit-inc bidon
    Rectification
    Avocat uqamien chez Stikeman: 2
    Avocat uqamien chez McCarthy: 2

    signé, un avocat ...d'un moyen cabinet (eh oui) décu de ce site qu'est droit-inc!

  9. Anonyme
    Anonyme
    il y a 16 ans
    Félicitation M. René Lewandowski
    Quelle est la pertinence de cet article ?! Surtout en pleine course au stage ( eh oui, les étudiants en droit de l'UQAM participent à la course au stage... de 0 dans les années 2000...8 à 15 réussissent à se placer dans les grands cabinets.

    Cet article omet de dire qu'il y a avocats uqamiens qui changent vers les cabinets boutiques, les moyens cabinets, les entreprises.

    Il ne faut pas oublier que le programme de droit à l'UQAM a été axé sur les droits et libertés de la personne, sur l'aspect sociale. Il est normal que les gros cabinets aient boudés UQAM pendant longtemps.

    Cet article omet de dire les 15 plus gros cabinets de Montreal. De plus, une vaste recherche sur internet, c'est n'importe quoi !

    Cet article donne une impression que l'UQAM est une mauvaise université en se basant sur les ''15 cabinets ''. Comme je l'ai mentionné plus haut, il oubli les cabinets boutiques, les contentieux d'entreprises, les moyens cabinets etc.

    Étant gradué de l'UQAM, beaucoup de mes confrères et consœurs de l'UQAM n'ont pas opté dans le droit des affaires.

    Il y a des facultés centenaires, il y a des facultés qui accueillent 2000 étudiants en droit. À l'UQAM, ils sont un maximum de 600. Beaucoup d'entre eux sont des professionnels ( autre que droit ) travaillant pour une compagnie ( dans le domaine de l'assurance, de l'ingénierie, de la comptabilité )

    Quand j'ai commencé mon bacc. On ne recevait aucune commandite, on n'avait aucune journée de carrière et aucun centre de placement. À la fin de mon bacc, l'AED était financé à 50 % par les grands cabinets, il y a eu une journée carrière, des cocktails et déjeuner-causerie, il y a eu un centre de placement, il y a eu beaucoup d'amélioration.

    Le timing est à son meilleur pour dénigrer l'UQAM. Félicitation !

  10. Anonyme
    Anonyme
    il y a 16 ans
    Allégations trompeuses et vexatoires
    M. Lewandowski,

    Vos statistiques semblent à première vue bien refléter la réalité. Toutefois, vous affublez votre sondage d'un titre trompeur et rempli de sous-entendus. Si cet article représentait la première frasque de votre webzine, personne n'y verrait la condescendance à laquelle nous sommes bien obligés de conclure aujourd'hui.

    Que les grandes firmes d'avocats emploient moins d'étudiants de l'UQÀM, soit. Mais de prétendre que ces firment "boudent" l'UQÀM, il y a une marge que votre court sens d'analyse n'hésite pas une seconde à franchir.

    Une des raisons principales raisons pour laquelle les étudiants de l'UQÀM ne se retrouvent pas en aussi grande proportion dans les plus grandes firmes de cette ville réside dans le fait qu'ils y appliquent tout simplement moins. Un simple appel aux recruteurs des firmes ques vous avez "sondées" vous aurait permis de le découvrir. L'UQÀM forme des juristes, avocats et notaires dont les intérêts s'écartent sensiblement de ceux des avocats des grandes firmes. C'est tout.

    J'en ai bien marre de constater à quel point le taux de placement des stagiaires dans les grandes firmes semble faire foi des performances des facultés de droit québécoises. Les meilleurs étudiants doivent-ils nécessairement appliquer chez Stikeman Elliot? Leur serait-il possible de se diriger vers le notariat ou même la recherche sans que l'on sous-entende qu'ils forment une catégorie de 2e classe? Les étudiants qui se dirigent en droit des affaires et commercial font plus d'argent, certes. Mais est-ce là un indicateur sérieux de la qualité de leurs aptitudes?

    Votre article, monsieur, fait grand cas des statistiques de l'UQÀM mais ne semble accorder aucune importance au fait que l'Université d'Ottawa et l'Université de Sherbrooke se classent loin derrière les trois autres universités. Pourquoi? Parce que tout ceux qui y réfléchissent plus que deux secondes savent très bien que les étudiants d'Ottawa optent dans une large proportion pour la fonction publique, et que ceux de Sherbrooke se retrouvent dans les firmes et contentieux qui se situent en région. Sont-ils moins bons pour autant? Sont-ils, de ce fait, "boudés" par les grandes firmes? Si non, pourquoi l'affirmer dans le cas des étudiants de l'UQÀM?

    Je vous laisse y réfléchir. Et de grâce, M. Lewandowki, prenez plus que deux secondes.

    P.S. Je ne prononcerai pas plus avant sur la question et les réponses suggérées de votre "sondage express", tellement elles me semblent vexatoires et dénuées de tout fondement.

    Alain Langlois, LL.B.
    Ex-président, AÉDUQÀM
    2006-2007

  11. Anonyme
    Anonyme
    il y a 16 ans
    le fait de pratiquer en grand cabinet n'est pas un signe de réussite...
    Je vais p-e faire tomber certaines croyances bien établies, mais on ne devient pas millionnaire en pratiquant dans un grand cabinet....Certes, on peut faire quelques centaines de milliers de dollars par an, mais vous seriez surpris de voir la situation financière de plusieurs associés qui ont près de 50 ans...

    Le problème est que pour le travail et le dévouement que tu donnes à ta firme, ta rétribution est loin d'être proportionnelle aux sacrifices que tu fais.

    Tu rédiges de la paperasse pour des gens qui sont souvent 10 fois moins intelligents que toi mais qui sont 20 fois plus riches que toi.

    Bref, ne vous demandez pas pourquoi certains associés sont pris à travailler des heures de fou à 50 ans....Parlez-leur "off the record" et vous constaterez que la réalité des grands cabinets n'est pas aussi rose qu'on le pense.

    Certes, c'est une bonne place pour commencer sa carrière. Mais toutefois, si vous aspirez à vous enrichir, à avoir des investissements diversifiés, à être maître de votre temps, ne restez pas là dedans trop longtemps.....

  12. Anonyme
    Anonyme
    il y a 16 ans
    quel acharnement !
    Cet article fait assez Journal de Montréal...

  13. Anonyme
    Anonyme
    il y a 16 ans
    Retour aux sources, SVP
    Et si on retournait un peu aux sources pour comprendre et expliquer toute ce débat?

    Voici comment l’UQAM elle-même énonce les objectifs de son Bac en droit ([http://www.er.uqam.ca/nobel/juris/rubrique.php3?id_rubrique=8|texte tiré textuellement de son site web])
    « Ce programme a pour objectif socio-économique la formation de juristes qui seront préoccupés de justice sociale et qui, à cette fin, pourront intervenir largement (recherche-action, enseignement, organisation, consultation, contentieux) à la défense et à la promotion des droits des personnes et des groupes (les organismes populaires et communautaires et les associations volontaires et autonomes, sans but lucratif, les syndicats, les comités de citoyens ou autres groupes apparentés qui poursuivent des objectifs de développement à caractère économique, social, culturel et communautaire) et ce, partout où le droit est en cause et particulièrement dans les domaines qui concernent les conditions de vie et de travail des personnes. »

    Et après on se demande pourquoi les grands cabinets, qui ont comme importants clients de grandes corporations, sont peut-être un peu moins intéressés par les gradués de l’UQAM ?!... Voyons donc! Poser la question c’est y répondre…Est-ce que les syndicats recherchent activement des avocats pro-patronaux aux idéaux corporatistes ?

    Ceci dit, il n’y a absolument rien de mal avec de tels objectifs. Au contraire. Un programme du genre à un rôle très important à jouer si ce n'est que pour viser à rétablir un peu l’équilibre des choses et a entièrement sa place dans une société ouverte, libérale (sens large) et démocratique comme le Québec... Mais il ne faut pas se plaindre que les étudiants l’UQAM sont injustement écartés dans la course aux stages auprès des grands cabinets.

    En se fixant de tels objectifs pour son programme en droit, l’UQAM a fait son lit…avec ses gradués pris sous la couverture…

  14. Anonyme
    Anonyme
    il y a 16 ans
    suggestion à M. Lewandowski

    Pourquoi ne pas tout simplement ne plus jamais écrire la moindre ligne au sujet de l'UQAM et de ses étudiants (hormis bien sûr si c'est pour souligner leurs excellents résultats aux concours de plaidoirie...ça ils ne se fatiguent jamais de l'entendre)? Comme ça nos amis Uqamiens arrêteraient peut-être de crier au meurtre pour rien (et de passer des nuits blanches à biaiser vos sondages concernant l'UQUAM)

    Franchement, on s'excite pour bien peu... Qui a t'il de si scandalisant à donner des statistiques sur le nombre d'étudiants de l'UQAM et des autres universités travaillant dans les grands cabinets ?

  15. Anonyme
    Anonyme
    il y a 16 ans
    j'ai une partie de la réponse..
    Lors de la journée carrière de l'UQAM, j'ai posé une question aux cabinets sur le pourquoi ils viennent à l'UQAM ? Pourquoi des avocats de FMC, BLG, Lavery, Heenan, Wood, Mcmillan, Stikeman, Fasken, Osler, RSS, McCarthy, Davies, Lapointe Roseinstein, Blakes etc. viennent à l'UQAM à la journée carrière ? Les réponse ressemblaient à : Il y a eu une fermeture depuis très longtemps, elle est encore présente dans certains cabinets, mais, il y a du talent. De plus en plus de cabinets sont réceptifs à l'UQAM. C'est sûr que lors de la course au stage, il n'y a jamais beaucoup de cvs provenant l'UQAM. Il y a des étudiants qui préfèrent d'autres domaines de droit. En définitive, certains cabinets boudent l'UQAM mais d'autres sont réceptifs. Il y a aussi un facteur important. Les étudiants de l'UQAM représentent une minorité dans la population étudiante. C'est la plus petite batch de droit. L'important est que l'UQAM s'améliore. Quelques années auparavant, c'était une fermeture complète.

  16. Anonyme
    Anonyme
    il y a 16 ans
    Re : suggestion à M. Lewandowski
    > Ben voyons, c'est sa façon de s'attirer des lecteurs...
    > Pourquoi ne pas tout simplement ne plus jamais écrire la moindre ligne au sujet de l'UQAM et de ses étudiants (hormis bien sûr si c'est pour souligner leurs excellents résultats aux concours de plaidoirie...ça ils ne se fatiguent jamais de l'entendre)? Comme ça nos amis Uqamiens arrêteraient peut-être de crier au meurtre pour rien (et de passer des nuits blanches à biaiser vos sondages concernant l'UQUAM)
    >
    > Franchement, on s'excite pour bien peu... Qui a t'il de si scandalisant à donner des statistiques sur le nombre d'étudiants de l'UQAM et des autres universités travaillant dans les grands cabinets ?

  17. Anonyme
    Anonyme
    il y a 16 ans
    Certains Uquamiens regrettent d'être passés par L'UQUAM

    Nombreux étudiants de L'UQUAM se plaignent des préjugés attachés à leur université, tandis que d'autres regrettent être passés par elle. Mais concrètement, les étudiants de l'UQUAM ont-ils moins de facilité à trouver des stages ou des emplois par rapport aux autres? Pour quelle raison concrète, l'étudiant de l'UQUAM serait-il désavantagéet l'est t-il vraiment par rapport à ceux issus des autres universités? Aurait-il moins de chance de trouver un emploi à la fin?

  18. Anonyme
    Anonyme
    il y a 16 ans
    Avocat à la retraite
    Voyez-vous le rapport entre votre article et la fermeture de votre bar? Moi si.La réponse est politique.

    Me Daniel Kouri

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