Affaires insolites

L'équipe Droit-Inc
2014-08-22 13:15:00

Il a reçu la visite d'avocats qui lui ont annoncé que Jules Jordan, un célèbre producteur de films X américain, avait obtenu une hypothèque légale sur son logement évalué à 686 800 $.
M. Jordan, de son vrai nom Ashley Gasper, s'était battu pendant 9 ans pour obtenir gain de cause dans cette saga judiciaire, qui avait débuté en Californie pour se rendre à Montréal en passant par la Cour suprême des États-Unis.
Tout a commencé en 2005, quand des consommateurs se sont plaints de la qualité des DVD vendus par la compagnie de M. Gasper, Jules Jordan Video inc.

Au terme d'une longue bataille judiciaire, le producteur porno avait obtenu gain de cause aux États-Unis, mais M. Elmaleh avait soutenu que le jugement ne pouvait pas être appliqué au Canada.
Le juge Louis Gouin a décidé du contraire, le 15 juillet dernier. En plus de devoir débourser 1,8 million $ personnellement, les entreprises de M. Elmaleh ont aussi été condamnées à une indemnisation totale de 2,5 millions $.
Pour lire la décision cliquez ici.
Du sexe avec 100 femmes décédées - avec QMI
« Je montais sur elle et je baissais mon pantalon », a mentionné Kenneth Douglas. Le préposé à la morgue de Cincinnati, en Ohio, a avoué avoir eu des relations sexuelles avec trois cadavres, soit ceux de Karen Range, Charlene Appling et April Hicks, des événements qui remontent à 1991 et 1992.
C'est pour ces gestes allégués que le comté de Hamilton est poursuivi. Ce sont les familles de ces trois femmes qui poursuivent le comté, pour avoir mal protégé les dépouilles à la morgue.
Or, l'homme de 60 ans affirme avoir eu des relations sexuelles avec jusqu'à 100 femmes décédées. Il associe ses pulsions à sa propension pour l'alcool. Dans sa déposition l'épouse de Douglas a indiqué qu'il «sentait le sexe» lorsqu'elle allait le chercher au travail. Elle aurait d'ailleurs dénoncé son mari sans que les autorités fassent quoi que ce soit.
Ce n'est qu'en 2008 que le manège de Douglas a pris fin lorsque son sperme a été trouvé sur la dépouille de Karen Range. L'assassin de Range avait avoué son crime, mais avait toujours nié avoir violé sa victime.