Un avocat demande l’aide des internautes pour innocenter un client
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Delphine Jung
2018-03-09 13:15:00
Un avocat français a posté un message sur Twitter pour trouver l'origine d'un bouchon qui semble être celui d’un récipient et qui pourrait mettre son client hors de cause.
Me Patrice Reviron demande aux internautes d'identifier "l'origine" d'un "bouchon" dont l'"usage pourrait sauver un innocent empêtré dans un dossier criminel". Il a posté ce message le 5 mars.
Appel à tous sur Twitter. Identifier l'origine de ce bouchon (retrouvé en 2010) et son usage pourrait sauver un innocent empêtré dans un dossier criminel. Pouvez-vous m'aider à avancer? Merci de RT pic.twitter.com/iimeyPyDMh
— Patrice Reviron (@PatriceReviron) 5 mars 2018
En 24 heures, le message a été partagé près de 2 500 fois et près de 500 réponses ont été proposées, rapporte France info.
Une famille d’accueil au milieu d’une controverse autour du lapin de Pâques
![Controverse autour du lapin de Pâques](https://gvm.nyc3.digitaloceanspaces.com/store/uploads/public/di/article/22120__Lapin_de_p%C3%A2ques.jpg)
Frances et Derek Baars se décrivent comme des chrétiens ayant une « foi forte », mais la travailleuse sociale Tracey Lindsay estimait que c’était aussi le rôle des Baars de parler aux enfants du lapin de Pâques.
Le juge Goodman a ajouté que la Société d’aide à l’enfance de Hamilton avait « brimé substantiellement » les croyances religieuses des Baars.
Le couple, qui habite maintenant Edmonton, est « très reconnaissant » du jugement et espère adopter un enfant.
Durant les procédures judiciaires, la Société d’aide à l’enfance de Hamilton avait soutenu que les familles d’accueil devaient « faire fi de leurs croyances et de leurs valeurs personnelles » pour s’occuper d’enfants de différentes origines.
Un couple de parents devant la justice pour avoir appelé leur fille Liam
En France, un couple du Morbihan (Ouest de la France) voulait appeler sa fille Liam, mais le ministère public a refusé, estimant que le choix de ce prénom serait de nature à créer une confusion de genre. Cela pourrait lui porter préjudice dans ses relations sociales, toujours d’après le ministère public.
Le 20 février dernier, un huissier a remis aux jeunes parents une assignation à comparaître devant le juge aux affaires familiales du tribunal de Lorient, rapporte L’Express.
Les parents, qui souhaitent garder l'anonymat, ont requis les services d'un avocat et reporté la date du baptême de leur bébé. La date d'audience du procès n'a pas encore été fixée.